Visitant Carnac en 1845 en compagnie de son ami Maxime Du Camp, c’est avec humour que le jeune Gustave Flaubert, alors au tout début de sa carrière d’écrivain, considère l’énigme des alignements de pierres et balaie les théories de l’archéologie celtique.
Soldats pétrifiés, colonie égyptienne, sépultures ou sanctuaires druidiques, appui pour les tentes du camp de César, colonnes d’Hercule, représentation du serpent Python, signes du zodiaque: rien de tout cela nous dit Flaubert: «les pierres de Carnac sont de grosses pierres»!
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